Collection Pavillon de minuit
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Catalogue - Patrick Simon (2016) - Isolda Stefanel (2017) - Alhama Garcia (2018) - Francine Minguez (2018) - Patricia Ryckewaert, (2019) - Catherine Monce (2020) - Inor (2021) - Nathalie Dhénin (2021) ; à fleur de gingko - Patrick Simon : à l'interstice du noir et blanc (2023) - Nadine Léon : "j'irai mourir à Yakushima (2024) |
25 € - 30 $ : à commander ici |
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à l'interstice du noir et blanc Patrick Simon Collection Pavillon de minuit Quatrième de couverture : "L'auteur
nous emmène faire un voyage et nous fait monter vers le ciel, cette voute
étoilée, ce lieu de la Création ... et pensant monter vers ce Sacré d'en
haut nous fait en réalité descendre en soi chercher ce blanc éclatant,
cette lumière de l'origine qui par notre seul désir s'éveille, s'anime et
s'amplifie enfin en nous avec cette vibration qui nous met à l'unisson,
Unis_Son Universel ... passant de façon répétée et sans fin de l'ombre à la
Lumière aux seules fins de mieux appréhender cette renaissance renouvelée à
l'identique de la nature dont nous sommes issus ... merci pour ce partage et
cet envol de notre Esprit." 10 € - 15 $ : à commander ici |
Inor : Empreintes - récit poétique Sortie : février 2021 |
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Nathalie Dhénin : à fleur de ginkgo |
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Catherine Monce |
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Patricia Ryckewaert |
"Les petits silences de Myako", Poèmes brefs de Patricia Ryckewaert (France) Miyako « belle enfant de la nuit », en japonais, porte en elle la tendresse des hommes et leurs plus belles fêlures. L’auteur vient partager une émotion, un sentiment, un regard sensible et engagé sur l’humain, et son rapport sensuel à l’autre et à la terre… instants frêles de poésie, pour écrire avec humilité depuis l’intime vibrant des femmes... un murmure, un cri. Soignante en psychiatrie durant plus de vingt ans, après un parcours psychanalytique courageux et une approche humaniste heureuse, elle se consacre à l’écriture. C’est par ses petits silences comme des fissures dans sa peau que Miyako laisse passer la lumière et l’amour partout où elle est même dans le noir épais des hommes et les sillons sombres de la terre Pour l'acheter, c'est ici |
Media |
Francine Minguez : "Tant qu'à t'aimer si fort... TANT QU’À T’AIMER SI FORT… de Francine Minguez est un récit hybride qui entremêle prose et poésie pour raconter une histoire. Dans un cri sensible et vrai, aussi en demi-teintes, aimer à mort prend ici tout son sens… L’auteure livre une expérience onirique et réaliste à la fois. L’émotion est toute simple, mais aussi éraflée, coupée au couteau. On flirte avec les doutes, les abysses d’absurde, et des traces d’humour dérisoire viennent parfois défier le sort. De-ci de-là, 41 poèmes courts dont certains tankas apparaissent, petits tableaux instantanés plus lyriques et où la vie circule, dans cet arrêt sur image…Quelques poèmes contemporains complètent le tableau. C’est la tension constante qui surprend le plus, et ce ton familier comme une confidence. Pour l’auteure, qui écrit depuis toujours et publie récits et poésie, les mots coulent comme rivières et ruisseaux et nous convoquent à mieux rêver. La nature et la vie sont au rendez-vous dans ce « roman d’amour » où l’on meurt, oui, et même si voir mourir est un dur moment à passer, il y a cette odeur de sapinages et ces effluves marins, ces iris et leurs murmures tout bleus. C’est donc surtout le récit d’un amour vivant. Comme une vieille lettre d’amour retrouvée. Étonnante, évocatrice, et qui fait tout renaître. Tant qu’à t’aimer si fort près de la fenêtre pourquoi ne pas le crier pourquoi ne pas hurler sur tous les toits? Pour l'acheter, c'est ici |
"Oiseaux de l'aube", recueil de Alhama Garcia Parution : Février 2018 INTRODUCTION AU RECUEIL Écrire sur ou à propos du Tanka relève de la gageure pour un occidental – celui que je suis à tout le moins. C'est vouloir noyer sous des mots toujours approximatifs, l'Absolu d'une langue et d'une tradition multiséculaires, son impérieuse beauté ; sa vérité si la vérité a à voir avec l'humilité vraie de la langue quand cette dernière sert à dire le Juste, l'Harmonieux. L'absolu, car l'harmonieux (comme l'absolu ou le juste) ne s'explique, ne s'analyse point, il s'écoute. Or le Tanka est, me semble-t-il et avant tout, cette recherche de l'harmonie. Une tentative, peut-être, de contre-balancer la Mort. Écrire et lire cette poésie brève revient – quand le poème est réussi et quand on sait le lire – à souvent écouter, ou entendre le silence qui emplit et prolonge les cinq vers impairs. A regarder la mer, la montagne, la neige ou la fleur d'un arbre fruitier sur le fil des jours. Parler du Tanka, c'est en premier lieu convoiter son chant sur l'espace de la page, en sachant que jamais on n'en viendra à bout. On ne circonscrit pas le chant. Il vous emporte, vous transporte ou vous fuit. L'infini du Monde tient dans un poème mais nul poème n'est résumé, réduit au monde, par le monde. Tout en lui est symbole alors que l'écriture n'est faite que de signes. C'est dire la distance qu'il existe entre cette poésie et toute tentative que l'on pourrait mener pour tenter de la définir. Sa profondeur toute symbolique – j'allais dire liturgique si le terme n'était pas si connoté – contredit son caractère de « texte court », la contrainte même de cette forme fixe ne faisant qu'emmener le lecteur toujours plus avant en lui-même et se faisant dans la fragile épaisseur de ce qui l'entoure. Il pousse celui qui le lit à l'extravague, à l'Ailleurs et ce faisant, l'invite à entrer en lui-même. A respirer lentement, à mâcher l'air jusqu'à ce qu'il y retrouve le parfum de la cerise, d'odeur de la mer et du grain de sel, la légèreté de la neige... Des choses insignifiantes, vous diront quelques esprits outrageusement cartésiens mais ô combien premières pour qui ouvre parfois, simplement, une fenêtre – sa fenêtre – pour voir et respirer le Dehors – l'Outre soi. C'est ce à quoi vous invite, à leur manière : « Les oiseaux de l'aube » de Alhama Garcia. À vous de les suivre à votre rythme, à l'envie, selon votre pas, votre regard, votre désir et votre souffle ou de choisir de rester sur le bord du chemin, dans les marges du monde. Il me semble cependant que cela serait dommage ! Jean-Claude TARDIF 12/12/2017 Pour l'acheter, c'est ici |
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"Bleu fontaine" de Isolda Stefanel Cet ouvrage de poésie contemporaine nous fait aborder les rivages d'un cheminement poétique sous forme de recueil de méditations, de pensées qui sont autant d'hommages à la vie et de quêtes spirituelles. "Bleu fontaine, suivi de Variations", d'Isolda Stefanel Poésie contemporaine - 2017 |
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"Impur",
récit de Patrick Simon Paru en mai 2016 "Alors
je revois ces images dans la pénombre de ma chambre.
Des images que depuis j’ai enfouies au plus profond de moi.
Mais dont les
effluves restaient. Si je suis devenu envieux de la
féminité, n’était-ce pas
à
cause d’un homme qui me renvoyait une image
nauséabonde ? Sexe, silence,
suintement et solitude ont la même première
lettre. Celle qui maintenant se
décline en des missives de la nuit pour retrouver le
goût de l’authentique,
même enfoui à son tour dans
l’intimité d’un écrivain
public et impudique. Si je
reviens dans ma chambre, que vais-je retrouver ? " Ce
récit est l’histoire d’une blessure
profonde où
l’inceste ravage non seulement un corps mais aussi une
âme. Se pose alors la
question : qu’est-ce l’amour quand on se
sent à jamais impur. Vous pouvez le commander par chèque ou par Paypal : |